ATTENTION : cet épisode comporte du langage familier
Une araignée de mer, bien mal dans sa carapace doit absolument muer pour se retrouver bien dans sa peau. Mais ça n’est pas sans risques.
Cette fiction de France Inter fait voyager aux temps des pharaons les enfants dès 8 ans. Une aventure documentée et captivante.
Des histoires du podcast “Une histoire et OLI…”, mises en musique et interprétées par l’Orchestre Philharmonique de Radio France
Six thématiques pour répondre aux questions que se posent les enfants de 9 à 13 ans sur la politique
Les Odyssées invitent vos enfants à s’aventurer dans le passé et à suivre les traces des grandes figures de l’Histoire
Dans cette série, Laure Grandbesançon nous plonge en pleine Seconde Guerre mondiale pour mieux comprendre les événements de cette période
Partez à la découverte des histoires et des aventures des grandes œuvres et des figures qui ont fait Le Louvre : le Vol de la Joconde, la Victoire de Samothrace, Néfertiti et Akhénaton, Michel-Ange…
Laure Grandbesançon remonte le fil de l’histoire et propose cinq Odyssées dédiées à l’impressionnisme
Les Trois Mousquetaires, le Comte de Monte-Cristo, le Chevalier de Maison-Rouge… 4 histoires fortes viennent compléter Les Odyssées avec cette collection dédiée à Alexandre Dumas.
Les deux chefs d’œuvre d’Homère “L’Iliade” et “L’Odyssée” à découvrir au fil de six épisodes
Un podcast pour les tout-petits de 2 à 4 ans avec Toudou le doudou tout mou, tout chou, tout fou !
Ces histoires remarquables regroupent ce que les personnalités du monde de la culture et des media peuvent offrir de plus frais et de plus moderne aux enfants de 4 à 8 ans
Connaître, apprendre ou découvrir la tortue marine, le kangourou ou le moustique… Ce podcast est une véritable aventure dans le monde animal pour les enfants
Bestioles Fossiles est une série documentaire audio réalisée par France Inter pour faire découvrir le monde animal préhistorique
ATTENTION : cet épisode comporte du langage familier
Une araignée de mer, bien mal dans sa carapace doit absolument muer pour se retrouver bien dans sa peau. Mais ça n’est pas sans risques.
Après une bonne journée de sommeil au fond de son terrier, le blaireau à l’estomac qui gargouille. Mais il se sait jamais ce qu’il va pouvoir se mettre sous la dent, ni quel danger le guette au détour d’un buisson ! Pour le blaireau, la nuit n’est pas de tout repos !
Le coucou gris ne construit pas de nid, ne couve pas ses œufs et n’élève pas ses petits. Non, mais elle se débrouille pour que d’autres le fassent à sa place !
ATTENTION : cet épisode comporte du langage familier
Une bestiole herbivore qui broute dans l’eau, qui est plus grande qu’un cerf, qui vit sa vie pépère et qui peut survivre à ses prédateurs sans courir ? Qui a dit que ça n’existait pas ?
Ne vous fiez pas à la bonne bouille du mérou ! Malgré son air sympathique, c’est un chasseur redoutable et insatiable, qui fait la loi chez les poissons. Certes, il ne pense qu’à manger, mais sa personnalité se révèle beaucoup plus complexe…
ATTENTION : cet épisode comporte du langage familier
Un vent de Sud souffle dans la nuit, les ronciers s’agitent… un petit bâton vert, résiste à ces effroyables conditions. Mais une bourrasque terrible l’arrache de l’arbuste et l’emporte dans les airs. S’en sortira-t-il sans ailes ? Et surtout sera-t-il de retour avant le jour qu’il craint tant ?
ATTENTION : cet épisode comporte du langage familier
Avec ses crocs acérés, le piranha s’est taillé une réputation de fou sanguinaire dans toute l’Amérique du Sud. Coincée dans une mare pendant la saison sèche, une demoiselle piranha aimerait bien rejoindre le fleuve pour retrouver sa bande et s’offrir un festin. Le cadavre de puma, elle adore ça !
L’être humain peut être parfois contaminé par des parasites, dont le ténia du bœuf. Ce petit locataire désagréable peut atteindre plusieurs mètres de long et pondre des œufs dans notre corps. Si vous vous sentiez un peu seul, avec le ténia vous ne le serez plus !
Après chaque histoire, Sylvie Chokron, neuropsychologue et chercheuse au CNRS, vous explique ce qui se joue dans le cerveau des petits enfants à l’écoute de « Toudou », dans un épisode commençant par le mot « notice ». Parents, vous pouvez retrouver l’intégralité de ce podcast sur l’application Radio France.
Toudou ouvre le couvercle du piano, découvre les sons, les touches : les enfants, dès la naissance, font l’apprentissage des objets et de leur utilisation. Par exemple, on peut apprendre à des enfants de 15 mois à se servir d’un petit râteau… ils peuvent comprendre l’intérêt de prendre un objet qui va prolonger le bras pour arriver à attraper un autre objet.
La particularité du piano, c’est son aspect multimodal : non seulement Toudou va faire un geste, mais en plus, il doit toucher les touches du piano, plus ou moins fort, pour faire un son plus ou moins fort.
Il y a aussi l’endroit où on va toucher le piano, donc la composante spatiale : l’enfant va apprendre que si on touche à un endroit, ça fait des sons très graves et si on touche à un autre endroit, ça fait des sons très aigus. C’est ce qu’on appelle les contingences sensorimotrices : le fait que l’enfant va apprendre des règles – à chaque fois qu’il va taper sur cette touche là, ça va produire ce son-là…
C’est grâce à ces règles que les bébés apprennent quel est l’impact de leurs actions sur le monde extérieur. Si les jouets premier âge comportent des touches, des fils qu’il faut tirer, des choses à froisser, des choses à pousser, des choses à faire tomber, c’est pour faire ces expériences sensorimotrices et pour comprendre quel est le résultat d’une action.
Dès le plus jeune âge, c’est donc extrêmement important de laisser les enfants manipuler, car leur intelligence est avant tout sensorimotrice.
Après chaque histoire, Sylvie Chokron, neuropsychologue et chercheuse au CNRS, vous explique ce qui se joue dans le cerveau des petits enfants à l’écoute de « Toudou », dans un épisode commençant par le mot « notice ». Parents, vous pouvez retrouver l’intégralité de ce podcast sur l’application Radio France.
Toudou ouvre le couvercle du piano, découvre les sons, les touches : les enfants, dès la naissance, font l’apprentissage des objets et de leur utilisation. Par exemple, on peut apprendre à des enfants de 15 mois à se servir d’un petit râteau… ils peuvent comprendre l’intérêt de prendre un objet qui va prolonger le bras pour arriver à attraper un autre objet.
La particularité du piano, c’est son aspect multimodal : non seulement Toudou va faire un geste, mais en plus, il doit toucher les touches du piano, plus ou moins fort, pour faire un son plus ou moins fort.
Il y a aussi l’endroit où on va toucher le piano, donc la composante spatiale : l’enfant va apprendre que si on touche à un endroit, ça fait des sons très graves et si on touche à un autre endroit, ça fait des sons très aigus. C’est ce qu’on appelle les contingences sensorimotrices : le fait que l’enfant va apprendre des règles – à chaque fois qu’il va taper sur cette touche là, ça va produire ce son-là…
C’est grâce à ces règles que les bébés apprennent quel est l’impact de leurs actions sur le monde extérieur. Si les jouets premier âge comportent des touches, des fils qu’il faut tirer, des choses à froisser, des choses à pousser, des choses à faire tomber, c’est pour faire ces expériences sensorimotrices et pour comprendre quel est le résultat d’une action.
Dès le plus jeune âge, c’est donc extrêmement important de laisser les enfants manipuler, car leur intelligence est avant tout sensorimotrice.
Après chaque histoire, Sylvie Chokron, neuropsychologue et chercheuse au CNRS, vous explique ce qui se joue dans le cerveau des petits enfants à l’écoute de « Toudou », dans un épisode commençant par le mot « notice ». Parents, vous pouvez retrouver l’intégralité de ce podcast sur l’application Radio France.
Au début de l’histoire, on ne demande rien, Toudou va aider spontanément.
Les bébés, dès leur plus jeune âge, ont envie d’aider. Dès l’âge de 4 à 6 mois, les bébés ont une attirance naturelle vers les comportements d’aide, d’altruisme, d’empathie.
Le comportement d’aide est complètement naturel chez les enfants. Toudou va être tout content de faire la vaisselle, puis des animaux vont arriver, et qui eux aussi vont l’aider à faire la vaisselle. Ces comportements d’aide existent aussi chez les animaux, ils ne sont pas propres à l’être humain.
Au cours de l’histoire, on va avoir envie de récompenser Toudou parce qu’il a aidé, avec des gaufrettes à la vanille. Or, ce que les neurosciences nous ont appris ces dernières années, c’est qu’aider quelqu’un active le circuit de la récompense. Et donc si les enfants ont un comportement d’aide naturel, c’est parce que le fait d’aider leur procure un plaisir qui se suffit à lui-même.
La notion de récompense parce qu’il a aidé ne veut rien dire chez un petit enfant de 18 à 24 mois, tellement le comportement d’aide est naturel… il faut aider les enfants à conserver ce comportement d’aide le plus longtemps possible parce qu’il est naturel, il est spontané, il procure du plaisir à l’enfant.
On pense de plus en plus que développer ces capacités d’altruisme chez l’enfant, cela permettrait aussi de développer les capacités cognitives, telles que l’attention, la mémorisation (parce qu’il faut se souvenir de ce qu’on a fait dans une situation similaire), mais aussi la résolution de problèmes!
Après chaque histoire, Sylvie Chokron, neuropsychologue et chercheuse au CNRS, vous explique ce qui se joue dans le cerveau des petits enfants à l’écoute de « Toudou », dans un épisode commençant par le mot « notice ». Parents, vous pouvez retrouver l’intégralité de ce podcast sur l’application Radio France.
Dans cette histoire, il est question évidemment de la peur du docteur. Pourquoi est-ce que les enfants ont peur du docteur et comment peut-on les aider à en avoir moins peur ?
A 7 mois, on a une peur déjà du visage de l’étranger, et on a aussi une conscience des lieux différents, particuliers, et des situations qui ne sont pas des situations de la vie quotidienne.
Cette peur est liée certes à la situation, mais elle aussi à ce qui s’est passé au préalable chez le docteur : si des bébés sont allés chez le médecin uniquement quand ils étaient malades, quand ils avaient une otite qui faisait très très mal, le souvenir de la douleur va être lié au souvenir du lieu et au souvenir de la personne.
Voilà pourquoi c’est très important que les enfants puissent avoir des expériences positives, absolument indolores chez le médecin.
On peut demander à l’enfant de mimer lui-même ce qui se passe chez le docteur, et on peut valoriser le courage de l’enfant lorsqu’il est allé chez le médecin ; on peut aussi essayer de dédramatiser la situation de la piqûre en faisant manipuler une fausse seringue, en lui faisant expérimenter ce que c’est que de faire une piqûre à son doudou, en lui montrant la taille de l’aiguille toute petite.
Après chaque histoire, Sylvie Chokron, neuropsychologue et chercheuse au CNRS, vous explique ce qui se joue dans le cerveau des petits enfants à l’écoute de « Toudou », dans un épisode commençant par le mot « notice ». Parents, vous pouvez retrouver l’intégralité de ce podcast sur l’application Radio France.
Que se passe-t-il dans le cerveau de vos enfants quand ils s’ennuient ?
Dans cette histoire, Toudou s’ennuie. Et comme il s’ennuie et qu’il n’est pas dans l’action, il commence à être beaucoup plus dans l’observation, dans la perception, dans la contemplation : il s’intéresse à ce qui se passe autour de lui, le mouvement des nuages, la pluie, les gouttes d’eau qui tombent, les gouttes d’eau qui s’écrasent sur la vitre.
Essayer de comprendre si ces gouttes en mouvement, ces nuages qui se déplacent, sont des personnes animées, vivantes ou sont des objets inanimés, c’est quelque chose d’extrêmement complexe pour le tout petit enfant.
Ce n’est pas l’ennui en lui-même qui est important pour l’enfant, c’est ce que l’enfant va faire de l’ennui. Essayer de trouver une réponse à la vacance, au vide, c’est comme résoudre un problème, cela met en jeu des capacités de créativité et génère une forme d’imagination, de résolution de problème.
C’est pendant ces temps d’arrêt que vont être consolidés en mémoire les connaissances et toutes les informations qui ont été acquises pendant les périodes d’activité.
Et on a montré que les enfants sont beaucoup plus créatifs après une période de temps calme. On a tendance à proposer des activités sans cesse, mais ce moment d’arrêt est absolument primordial!
Après chaque histoire, Sylvie Chokron, neuropsychologue et chercheuse au CNRS, vous explique ce qui se joue dans le cerveau des petits enfants à l’écoute de « Toudou », dans un épisode commençant par le mot « notice ». Parents, vous pouvez retrouver l’intégralité de ce podcast sur l’application Radio France.
Cet épisode explique pourquoi il est difficile pour les petits-enfants d’apprendre ce qui se mange et ce qui ne se mange pas.
Faire la cuisine, pour les enfants, c’est un laboratoire pour apprendre à faire des gestes, dont des gestes qui peuvent être compliqués.
Pour ce qui est de savoir si on peut manger ou on ne peut pas manger, on ne peut pas se baser sur des caractéristiques uniquement physiques, parce qu’il y a des choses absolument identiques, visuellement, au toucher, voire à l’odeur (herbe ou basilic ?!). Alors pour un enfant, c’est un apprentissage presque conceptuel : c’est en voyant la tête de leurs parents quand ils vont mettre des choses à leur bouche qu’ils vont comprendre qu’il y a des choses qui se mangent et d’autres choses qui ne se mangent pas.
Le fait qu’un enfant comprenne ce qui est dégoûtant implique aussi qu’il ait compris ce qui était autorisé ; et les règles, c’est une tâche cognitive très importante…
C’est le printemps ! Toudou, mon doudou, découvre la nature dans le jardin. Animaux, fleurs, herbe… il s’émerveille.
Après chaque histoire, Sylvie Chokron, neuropsychologue et chercheuse au CNRS, vous explique ce qui se joue dans le cerveau des petits enfants à l’écoute de « Toudou », dans un épisode commençant par le mot « notice ». Parents, vous pouvez retrouver l’intégralité de ce podcast sur l’application Radio France.
Dans cette histoire, Toudou découvre le printemps. Chez les tout-petits, la perception est multimodale : elle comprend toutes les informations sensorielles en même temps. Dans cette histoire, on va demander à Toudou de percevoir spécifiquement les informations visuelles, auditives, en termes de température, d’air, de mouvement… c’est un petit peu comme si on lui demandait de percevoir en pleine conscience. Ainsi on développe sa capacité à individualiser les sens.
On va aussi insister sur le concept de couleur. Pour un enfant, la véritable couleur des objets (la longueur d’onde, la façon dont cette lumière est projetée sur l’œil), puis le concept de couleur (jaune, rouge, vert, bleu…), puis le mot de couleur… ce sont des concepts complètement différents qui ont été associés de manière totalement arbitraire. Pour un enfant, un parapluie rouge va avoir l’air noir si on le regarde dans la pénombre…
Au milieu du pré il y a de l’herbe, du blé, de la terre, du bois, des branches… L’enfant va apprendre à discriminer un objet avec des contours particuliers. Parmi une multitude d’objets, il va apprendre à reconnaître une couleur, une forme particulière, à distinguer une pâquerette d’une jonquille.
Après chaque histoire, Sylvie Chokron, neuropsychologue et chercheuse au CNRS, vous explique ce qui se joue dans le cerveau des petits enfants à l’écoute de « Toudou », dans un épisode commençant par le mot « notice ». Parents, vous pouvez retrouver l’intégralité de ce podcast sur l’application Radio France.
Cet épisode nous apprend que contrairement à ce que dit l’adage, il faut laisser les enfants jouer avec la nourriture.
Par exemple, le manque d’envie peut être lié à la peur ; ce qu’on appelle la néophobie est tout à fait sain chez les jeunes enfants. Cette néophobie est à son maximum entre trois et quatre ans. Or si Toudou avait le droit systématiquement de toucher, lécher, mâchouiller, écouter quand ça croque, il n’aurait sans doute plus peur de tel ou tel aliment.
On peut expliquer ce qui se mange, ce qui ne se mange pas, pourquoi est-ce qu’on peut le manger, et comment on peut le manger. Les carottes, ça reste des carottes pour nous, quelle que soit leur apparence, quelle que soit leur texture, quelle que soit la manière dont elles sont cuisinées. Pour un enfant, imaginer que des carottes râpées, c’est la même chose que de la purée de carotte ou une carotte entière, c’est une tâche cognitive très compliquée.
Après chaque histoire, Sylvie Chokron, neuropsychologue et chercheuse au CNRS, vous explique ce qui se joue dans le cerveau des petits enfants à l’écoute de « Toudou », dans un épisode commençant par le mot « notice ». Parents, vous pouvez retrouver l’intégralité de ce podcast sur l’application Radio France.
Cet épisode souligne l’importance des échanges de regard pour le bon développement de l’enfant. Elle explicite aussi les caractéristiques du mamanais, la langue des mamans. Dans cette histoire, on se regarde avec Toudou les yeux dans les yeux.
Tout d’abord, cette histoire raconte ce qui se passe au moment du coucher : le besoin d’un certain nombre de rituels afin d’apprivoiser ce moment et de le repérer dans la journée qui passe. Il y a aussi ces petits mots tout doux qu’on va se répéter (les « mots doudous »), des mots qu’on prononce avec une intonation particulière, des mots qu’on dit aux gens qu’on aime avec une voix particulière.
Cette langue, on l’a appelée le « mamanais »… la langue des mamans. Sa musique, sa fréquence, son rythme, son intensité permettent au cerveau du bébé de se synchroniser sur le cerveau de la personne qui est en train de lui parler en mamanais.
Cette langue comporte tout ce qu’il faut pour que les deux cerveaux, celui du très jeune enfant et celui de l’adulte qui lui parle, soient véritablement sur la même longueur d’onde.
Une autre action cruciale dans cette histoire, c’est le fait de se regarder les yeux dans les yeux. Cet échange libère de l’ocytocine, de la dopamine, toutes ces hormones qui vont permettre non seulement l’attachement véritable, mais aussi qui vont permettre d’avoir des interactions sociales de bonne qualité.
Après chaque histoire, Sylvie Chokron, neuropsychologue et chercheuse au CNRS, vous explique ce qui se joue dans le cerveau des petits enfants à l’écoute de « Toudou », dans un épisode commençant par le mot « notice ». Parents, vous pouvez retrouver l’intégralité de ce podcast sur l’application Radio France.
Cet épisode évoque la fonction du toucher et la difficulté de se contrôler pour les petits-enfants.
Les enfants ont besoin de toucher à tout parce que c’est comme ça qu’ils apprennent. Le toucher, c’est une modalité très importante qui existe déjà in utero.
Dès 3 jours de vie, les enfants sont capables de faire un transfert entre ce qu’ils ont touché et ce qu’ils ont vu. Plus tard, à partir de 6 mois, cette expérimentation volontaire leur permet de s’approprier le monde dans lequel ils vivent.
Si l’école maternelle est à 3 ans et si le CP est à 6 ans, c’est justement parce qu’à partir de 3 ans, ils vont commencer à pouvoir se contrôler, mais ce sera encore difficile de ne pas tout toucher. Et c’est pour cela qu’à 6 ans, au moment du CP, on va pouvoir attendre d’eux qu’ils soient capables de ne pas se lever pour aller tout toucher, de se contrôler et d’écouter les consignes de l’enseignant.
Pharaon célèbre et adulé, Ramsès II est réputé pour ses victoires militaires et la construction de nombreux temples et statues… Et ça, partout en Egypte ! Découvre les incroyables aventures du pharaon le plus connu du monde !
Helen Keller n’a même pas 2 ans quand elle perd l’usage de ses yeux et de ses oreilles. Et pourtant, pugnace et résiliente, elle obtient un diplôme à l’université, écrit douze livres et donne des dizaines de conférences.
Découvre l’incroyable destin de cette femme extraordinaire !
Une caverne magnifique, pleine de peintures préhistoriques, restée secrète, enfouie sous l’eau, pendant des siècles… Et finalement découverte presque par hasard… Impossible ? Si !
Sors ton masque et ton tuba, et en route pour la grotte Cosquer !
Qui était Ching Shih , cette femme chinoise à la tête de l’une des flottes de pirates les plus puissantes et effrayantes de toute l’Histoire ? Les Odyssées enquêtent !
Oli en concert, ce sont des histoires mises en musique et interprétées par les musiciens de l’Orchestre Philharmonique de Radio France et c’est Othman Louati qui signe ce nouvel opus.
Découvre la folle aventure d’un pilote de l’aéropostale chargé de porter le courrier, au péril de sa vie, il y a presque 100 ans. Une histoire d’engagement et d’amitié qui t’embarque au cœur de la cordillère des Andes, une forêt d’immenses pics glacés.
Extravagante, drôle, courageuse, engagée, personne ne résiste à l’incroyable Joséphine. Qu’elle danse à 6 ans dans les rues de Saint-Louis ou sur la scène des théâtres parisiens, elle électrise, surprend et fascine. Découvre l’incroyable destin de cette femme artiste, libre et engagée.
De la créature terrifiant les marins au spécimen contemporain, qui se cache dans la nuit des abysses ? L’intrigant calamar géant déploie ses tentacules et sa robe dorée sous l’œil ébahi d’une équipe de chercheurs.
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Le jeune Ptéranodon manque de confiance en lui ; ce qui, à l’ère du crétacé, lui complique autant sa vie de prédateur que de mâle reproducteur.
Trilobite vit il y a 500 millions d’années. Il fréquente d’autres créatures tout aussi bizarroïdes, adore les vers dodus qu’il déchiquète à coups de pattes-ciseaux, se roule en boule et se vautre dans la vase. Le Cambrien c’est l’éclate sauf quand une ombre plane au fond de l’océan.