Ce sont les Chinois de la fin du Moyen Âge, qui les premiers, constatent qu’on n’attrape jamais deux fois la terrible variole. Du coup, quitte à l’attraper, autant que ce soit une version pas trop virulente qui n’entraîne pas la mort ce disent-ils…
Ce sont les Chinois de la fin du Moyen Âge, qui les premiers, constatent qu’on n’attrape jamais deux fois la terrible variole. Du coup, quitte à l’attraper, autant que ce soit une version pas trop virulente qui n’entraîne pas la mort ce disent-ils…