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Activités extra-scolaires : comment les choisir et s’organiser ?

activités extra-scolaires

Jeux olympiques et paralympiques ou non, les parents n’attendent pas les exploits des athlètes pour inscrire leurs enfants aux activités extra-scolaires. Et elles ne sont pas que sportives ! L’offre artistique, culturelle, scientifique etc. ne cesse de s’enrichir à chaque nouvelle rentrée. Comment choisir celle qui correspond le mieux à l’âge et aux envies de son enfant ? Quels sont les avantages et quels écueils éviter pour que la bonne humeur et l’entrain dominent toute l’année ?

Quels sont les bénéfices des activités extra-scolaires ?

Lorsqu’on interroge les parents sur les motifs qui les conduisent à choisir une activité pour leur enfant, leurs réponses sont extrêmement variées. Volonté de faire pratiquer un sport pour favoriser une bonne santé, envie d’ouvrir son enfant à des horizons différents de l’école, prestige social ou bénéfice vanté pour une meilleure réussite scolaire… Finalement, le motif simple du plaisir et de la joie de l’enfant à se consacrer à une activité, en dehors des apprentissages obligatoires, est rarement évoqué. C’est du moins souvent le cas pour les plus jeunes, les plus grands ayant davantage eu le temps d’affirmer leurs préférences.

En dehors du choix de l’activité elle-même, quelle est l’utilité des activités extra-scolaires ?

À quoi servent les activités extra-scolaires ?

Les enfants français passent en moyenne plus de temps à l’école que leurs camarades européens. Ils enchainent des journées de 6 heures de cours, suivies parfois de l’étude. Ainsi, ils sont nombreux à comptabiliser des journées de 10h de présence à l’école. Il y a quelques années, le ministère de l’Éducation nationale avait décidé de modifier les rythmes scolaires, soulevant des réactions mitigées. Les élèves pouvaient alors profité deux fois par semaine d’1h30 d’activités péri-scolaires gratuites.

Cependant, cette réforme a été partiellement abandonnée face aux difficultés pour maintenir un accueil et des activités de qualité partout en France. De fait, les journées de classe sont trop longues. Mais l’organisation actuelle des écoles, des services municipaux et des parents ne donne que peu de marge pour équilibrer de façon satisfaisante les journées des enfants. Que viennent faire ces considérations dans un sujet comme les activités extra-scolaires ?

gymnastique pour enfants
©Canva Pro

Eh bien, dans ce contexte de temps d’école « accaparant », ces activités sont tout simplement perçues comme une échappatoire. Elles constituent des occasions pour les enfants de vivre des expériences en dehors de la maison et de l’école. Ici, pas de notes ni de pression, mais de la détente, de la découverte, de l’amusement. Avec des règles, bien sûr, et même du challenge et du dépassement de soi… mais sur la base du volontariat ! Une activité extra-scolaire est une possibilité pour l’enfant de découvrir le monde sous un autre angle que celui des exercices de grammaire et des soustractions posées. Et ça lui fait un bien fou ! En lui rendant confiance en lui, en lui offrant de nouvelles occasions de socialiser… Et surtout, en lui permettant d’exceller ailleurs que dans le cahier d’évaluation !

Liste des avantages et bénéfices des activités hors école

Si on s’amusait à faire une liste des avantages des activités extra-scolaires, on y trouverait pêle-mêle :

  • la découverte. L’enfant peut tester une activité sportive souvent non proposée à l’école, comme l’escalade, la boxe, le skate-board, l’escrime… Il peut aussi exercer ses talents artistiques de comédien, de dessinateur, de jongleur ou de trapéziste. Ou encore, il peut apprendre le danois, le codage informatique et la flûte traversière. La gamme du génie humain est suffisamment large pour que l’enfant trouve un attrait pour une discipline ou une autre. Ce sont parfois de véritables passions qui donnent ensuite des champions, comme les frères Lebrun médaillés aux JO de Paris 2024 en tennis de table. Issus d’une famille de pongistes, ils ont tapé leur première balle à l’âge de 3 ans !
  • l’équilibre vie/école. La pratique d’une activité sportive, artistique ou scientifique incite l’enfant à relativiser les performances réclamées par l’institution scolaire. Il peut librement choisir où porter ses efforts et prendre plaisir à s’améliorer dans une discipline non scolaire.
  • Bien-être et confiance en soi. Certaines activités permettent de se détendre, de se relaxer, d’apprendre à maîtriser ses émotions et à mieux se connaitre (théâtre, yoga, relaxation, arts plastiques…). Cela peut être profitable à des enfants qui souffrent de stress scolaire ou qui ont besoin de reprendre confiance en eux, suite à des difficultés relationnelles à la maison ou à l’école.
  • Développer de nouvelles compétences utiles tout le long de la vie, et peu travaillées à l’école. C’est le cas des compétences sollicitées dans les activités manuelles, artisanales et technologiques.

Quels sont les écueils à éviter en matière d’activités extra-scolaires ?

Le premier écueil concerne le nombre d’activités. Certains enfants ont des agendas surchargés et ont peu de temps pour eux. Or, il est fondamental pour leur bien-être physique et mental qu’ils puissent se reposer, jouer et laisser leur esprit vagabonder. Cela inclut d’ailleurs de laisser sa place à l’ennui, meilleur levier pour donner de superbes idées de jeu et ouvrir la voie à l’imagination. En outre, l’enfant a aussi besoin de passer du temps en famille pour entretenir et préserver de bonnes relations avec ses parents et ses frères et soeurs. Ce sont des moments de dialogue, de transmission générationnelle, aussi bien que de partage des tâches du quotidien. De même, les activités extra-scolaires ne remplacent pas les sessions de jeux de société, les séances de cinéma, les sorties culturelles et de plein air en famille…

Le second problème dépend de l’activité elle-même. A-t-elle été choisie par le parent ou par l’enfant ? Si les plus jeunes ont souvent envie de « faire comme papa ou maman », ou tout autre membre de la famille, il arrive que ce ne soit pas le cas. Forcer un enfant à faire du judo pour se défendre ou du théâtre pour vaincre sa timidité peut s’avérer complètement contre-productif. Il est évidemment important de respecter la personnalité et la sensibilité de ses enfants. Même si parfois ils ont besoin d’un petit coup de pouce pour s’intéresser à une activité, celle-ci doit rester un plaisir et non une contrainte. Le choix des activités est un moyen pour l’enfant de se singulariser et d’affirmer sa personnalité. Lui ôter cette possibilité revient à freiner son développement et ses efforts d’autonomie.

activités extra-scolaires natation
©Canva Pro

Dans cette optique, on peut relever une troisième difficulté relative au lieu et à l’horaire de l’activité en question. Il est important de vérifier que la localisation du cours et la durée de la session correspondent à votre organisation familiale. Si c’est trop loin et/ou que l’activité dure trop longtemps, vous et votre enfant pourriez vous lasser de vous y rendre. Le lieu doit donc être facile d’accès et la durée du cours adaptée à l’âge de l’enfant. Il convient de bien respecter les âges indiqués car ils prennent en compte les aptitudes psychomotrices de l’enfant, ainsi que son endurance et ses capacités d’attention. Discutez-en au besoin avec les équipes en charge de l’activité.

On peut donc retenir qu’il est préférable que l’enfant soit à l’initiative du choix et que l’organisation de l’activité doit coïncider avec l’emploi du temps familial. En outre, il faut veiller à ne pas surcharger l’enfant pour qu’il ait du temps libre et des moments conviviaux en famille.

Quelles activités extra-scolaires et pour quel âge ?

L’enfant présente très tôt une curiosité pour le monde qui l’entoure. On dit souvent de cette curiosité qu’elle est naturelle, dans le sens où elle correspond aussi à son développement psycho-moteur. En découvrant le monde, il élargit ses connaissances et sa compréhension et prend petit à petit sa place dans un environnement de plus en plus riche. Si l’école et la famille occupent une place centrale dans l’éducation et les apprentissages, les activités externes à ce cadre y contribuent également. Et l’enfant fait parfois entrer un peu de nouveauté dans les habitudes familiales. Vous ne connaissiez rien aux règles du rugby ? Vous n’avez jamais mis en marche une machine à coudre ? Qu’à cela ne tienne, votre enfant va tout vous expliquer en deux temps trois mouvements !

Liste (non exhaustive) d’activités classiques et originales

Évidemment, il est impossible de lister toutes les activités existantes. D’autant plus qu’en fonction de son lieu de résidence – ville, montagne, bord de mer… – les choix varient. Mais, pour vous donner une vision synthétique et vous aider à sélectionner l’activité idéale, en voici un aperçu par catégories !

Les activités sportives pour enfants

Le sport, c’est bon pour la santé physique et mentale ! C’est donc tout naturellement que les parents incitent leurs enfants à opter pour une activité sportive. Parmi les disciplines les plus pratiquées, on trouve la natation, la danse et les sports collectifs comme le football ou le basketball. De nombreux enfants apprécient également l’équitation et les arts martiaux (judo, karaté, taekwondo). Mais il en existe encore plein d’autres qui accueillent les enfants dès 3 ans (capoeira, gymnastique, escalade…) ou un peu plus tard vers 6-8 ans (escrime, voile…).

activités extra-scolaires arts martiaux
©Canva Pro

Les arts vivants dès 3 ans

Dans la catégorie « arts vivants », les enfants s’adonnent dès le plus jeune âge au théâtre, à l’improvisation, mais aussi au cirque et à la marionnette. Sous forme d’ateliers ou de cours annuels, l’enfant utilise son corps et la parole pour traduire des émotions et des situations de plus en plus complexes. Ce type d’activités développe la confiance en soi, l’empathie et la coopération. Autant de compétences utiles pour vivre ensemble et travailler en groupe.

Les activités d’arts plastiques et visuels pour les enfants

Les ateliers de création pour les tout-petits offrent des occasions de tester différentes techniques, en 2D et en 3D. Ils expérimentent le dessin, la peinture, mais aussi la gravure, la sculpture, le collage etc. Il n’est pas nécessaire d’être bon dessinateur pour débuter. De la curiosité et de l’appétence pour le graphisme sont requis, sachant que les professeurs recherchent l’épanouissement de l’enfant et son éveil aux formes, davantage que sa performance au crayon. En outre, les activités d’arts plastiques aident à développer l’attention et la concentration et favorisent la méditation et le retour au calme.

activités arts plastiques pour enfants
©Canva Pro

Par ailleurs, certains ateliers proposent également une initiation au cinéma ou à la radio à travers un projet de film ou de podcast. Les enfants découvrent ainsi conjointement les enjeux esthétiques et techniques de ces supports artistiques (à partir de 8/9 ans).

Les activités scientifiques et techniques

Pour les petits curieux, certains lieux hybrides (mairie / association / fondation) proposent des ateliers scientifiques avec les thèmes favoris des enfants : astronomie, monde vivant, robotique, codage informatique… Ces activités se déroulent parfois dans des musées appartenant au ministère de l’Éducation nationale (musées d’histoire naturelle, observatoire astronomique, musées de sciences…) ou des fablabs associatifs. D’autres sont propulsés par des entreprises privées du secteur éducatif, notamment pour les cours de codage informatique (Magic MakersStudio XPGeekschool…). C’est le cas aussi des ateliers de construction menés par des marques phares comme Kapla® ou Lego®.

L’apprentissage des langues

Dernière catégorie qui a le vent en poupe : l’apprentissage d’une langue. Que ce soit dans une école spécialisée ou sur une application éducative numérique, apprendre une langue n’a jamais été aussi accessible ! Les enfants peuvent s’initier à une large gamme de langues, même si l’anglais reste le choix le plus répandu. Désormais, ils bénéficient de méthodes ludiques qui misent sur l’interactivité et une interface attractive. Exit les vieux manuels et les mises en situations banales, cap sur l’aventure et le jeu ! Apprendre une langue autre que sa langue maternelle apporte à l’enfant un autre point de vue sur le monde. Il découvre ainsi une autre culture (voire plusieurs si la langue est parlée dans différentes aires géographiques !) et d’autres façons de penser.

cours de langue étrangère pour enfants
©Canva Pro

Les tout-petits peuvent commencer une initiation dès 4 ans, mais l’âge idéal se situe autour de 7 ans, en fonction de la maturité de l’enfant. Bien souvent lorsque l’enfant est très jeune, il se lasse vite. De fait, il ne comprend pas l’intérêt de parler une langue autre que celle qu’il parle à la maison et à la l’école. C’est pourquoi il est préférable d’attendre qu’il soit en élémentaire pour l’inscrire à un cours d’1h. Il est toujours possible de démarrer plus tôt à la maison avec de courtes séances quotidiennes de 5 à 10 minutes. On peut lire un album, jouer aux cartes ou encore chanter des comptines pour familiariser l’oreille de son enfant. Le cours de langue interviendra plus tard pour confirmer les acquis, si l’enfant en manifeste l’envie.

L’apprentissage musical et instrumental

L’initiation à la musique démarre dès la petite enfance avec des ateliers d’éveil. Elle se prolonge en maternelle avec des séances de sensibilisation aux différentes sonorités des familles d’instrument et au chant. La pratique instrumentale démarre plus tard avec un supplément de solfège dans les conservatoires. Mais d’autres méthodes, comme la méthode japonaise Suzuki, ont recours à l’oreille et font jouer des enfants plus jeunes. 

activités extra-scolaires musicales et instrumentales
©Canva Pro

L’apprentissage de la pratique instrumentale réclame de la rigueur et de la motivation. Attention donc à bien veiller à ce que les séances d’exercice n’empiètent pas sur le temps de détente et de jeu libre des enfants. Il en va de leur santé mentale et physique.

Autres activités extra-scolaires

Nous n’avons bien sûr pas pu citer toutes les activités existantes. D’autres n’appartiennent à aucune catégorie et sont pourtant largement pratiquées. On peut citer le yoga, les échecs, les ateliers de cuisine ou de jardinage, la broderie, la couture, la poterie etc.

activité d'échecs pour enfants
©Canva Pro

Quelle activité choisir en fonction de l’âge de son enfant ?

La première réponse sera très logiquement d’opter pour une activité qui plait à l’enfant. Toutefois, bien souvent, l’enfant n’a pas d’idée précise et compte sur ses parents pour lui faire des propositions « intéressantes ». Entendez par là des propositions qui correspondent à ses aptitudes et goûts. En fonction de l’âge de l’enfant, les critères de choix diffèrent.

Quelles activités extra-scolaires proposer en maternelle ?

Commencez d’abord par vous informer sur l’adéquation des activités avec l’âge de l’enfant. Avez-vous des retours d’autres parents ? Il y a-t-il des avis laissés sur internet ? Lorsqu’un enfant est jeune, il est impératif que l’activité proposée corresponde bien à ses capacités. Pour le vérifier par vous-mêmes, la meilleure solution reste le cours d’essai. Il est indispensable pour étudier le comportement de votre enfant. Se place-t-il en retrait ou au contraire participe-t-il volontiers ? L’éducateur tient-il son groupe avec fermeté mais aussi bienveillance ? Il est important que vous vérifiez ces critères afin que votre enfant s’adapte facilement à son cours et se sente rapidement à l’aise. De cette façon, il aura moins de mal à accepter de vous quitter le temps de son activité.

Par ailleurs, la longueur d’une séance ne doit pas excéder 30 à 40 minutes pour une même activité. Certains cours dits « d’initiation » varient les exercices et situations (dynamiques et plus calmes) et peuvent durer plus longtemps. À vous de juger si le format de la séance convient à votre bout de chou. Vous n’aurez pas les mêmes attentes pour un enfant de 3 ans que pour un de 5. En effet, en fin de maternelle, ce dernier est tout-à-fait capable de « tenir » une heure, surtout si le cours est correctement conçu.

activités extra-scolaires en maternelle
©Canva Pro

Toutefois, pour maximiser les bénéfices des activités extra-scolaires en maternelle, les formules à la carte, les ateliers mensuels ou les stages pendant les vacances sont une bonne solution. Votre enfant peut ainsi tester plusieurs activités sans avoir la contrainte de la régularité hebdomadaire. Et côté parents, vous serez moins frustrés d’avoir dépensé un an de cours, alors que votre enfant n’aura assisté qu’à quelques séances.

Les activités favorites des 5-8 ans

Cette tranche d’âge affirme ses préférences et peut déjà identifier sa discipline de coeur. À condition que la rencontre ait eu lieu ! Comme pour les enfants plus jeunes, on peut continuer de proposer des ateliers ponctuels pour faire découvrir une discipline. Parfois l’école propose de s’inscrire à des ateliers périscolaires qui fonctionnent par période de 7 à 8 semaines ou par trimestre. Cela constitue un bon moyen de s’essayer à une discipline à moindre frais. Le cours d’essai a toujours son importance et la formule en paiement trimestriel s’avère une bonne solution pour ne pas s’engager sur l’année. Toutefois, elle est peu répandue et votre enfant devra souvent s’engager pour l’année complète.

gymnastique pour enfants de maternelle
©Canva Pro

Entre 5 et 8 ans, l’enfant a encore peu d’endurance et sa coordination motrice n’est pas totalement achevée. C’est pourquoi il a tout intérêt à choisir un sport complet qui va l’aider à harmoniser son développement musculaire. Certains sports comme le judo, la natation, la danse ou la gym se prêtent particulièrement bien aux besoins de cette tranche d’âge. Les autres activités (théâtre, langue, échecs etc.) dépendent fortement de la motivation et de l’image que l’enfant se fait de l’activité. C’est vous qui savez le mieux quels sont ses centres d’intérêt et quelles disciplines sont susceptibles de lui plaire.

9-12 ans : un âge pour cultiver sa passion

Arrivé à l’âge de 9 ans, l’enfant sait quelles sont ses activités favorites, celles qu’il désire poursuivre ou celles qu’il aimerait essayer. Il est en pleine possession de ses moyens et apprécie de s’entraîner régulièrement avec ses amis ou son groupe. Certaines disciplines proposent déjà des compétitions pour celles et ceux qui le souhaitent : en judo, karaté, tennis, équitation et sports collectifs (football, hockey sur glace, handball…). Pendant cette période, l’enfant peut décider de s’investir dans une pratique, sportive ou autre, et en faire son signe distinctif. Dans la famille, il devient celui ou celle qui dessine super bien, qui enchaîne les katas ou qui excelle à coder avec Scratch. L’activité extra-scolaire devient alors un moyen de construction de soi, un outil pour forger sa propre identité.

enfants qui pratiquent un handisport en fauteuil roulant
©Canva Pro

À l’adolescence, ces aptitudes viendront enrichir la palette de compétences du jeune et éventuellement l’aider à choisir son orientation. Soit en conservant son activité comme passion, soit en en faisant son métier.

Conseils pour organiser les activités extra-scolaires de ses enfants

Pour finir, voici quelques conseils utiles pour organiser au mieux les activités des enfants.

Tout d’abord, pour que l’enfant soit motivé et impliqué dans son activité, il faut que la durée de la séance et le contenu soient adaptés à ses capacités. Pour cela, vous pouvez vous renseigner lors des journées portes ouvertes ou tester une ou deux séances gratuites avant d’inscrire définitivement votre enfant. Si vous ou votre enfant n’êtes pas sûrs du choix, privilégiez les stages et ateliers ponctuels pour tester une discipline. Dans tous les cas, pour minimiser l’effort financier, demandez au service administratif s’il est possible de payer en plusieurs fois ou d’organiser un prélèvement mensuel.

sports nautiques pour enfants
©Canva Pro

Par ailleurs, pour faciliter l’organisation familiale et gérer le planning des activités sans se retrouver débordés, pensez aux outils organisationnels à afficher à la maison ou disponibles sur applications. Autre conseil : n’attendez pas la rentrée scolaire pour inscrire votre enfant et guettez les forums des associations en juin pour connaitre les programme et planning pour l’année à venir. Les sites des municipalités relaient généralement ce type d’informations et mettent en avant toute nouvelle ouverture d’activité sur la commune. De même, les commerçants sont susceptibles d’afficher les informations relatives aux inscriptions aux ateliers pour enfants dans votre secteur géographique. Enfin, les sites de fédérations recensent les clubs sportifs habilités à dispenser des cours dans toute la France. Alors, ouvrez les yeux et à vos agendas !

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