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L’évolution des dessins de votre enfant âge par âge

dessins enfants

Du gribouillis au décor de fantasy en passant par le bonhomme patate et la robe en triangle, le dessin d’enfant évolue de concert avec son développement psycho-moteur. Il sert de laboratoire d’exploration de la matière, des formes et des couleurs pour décoder le monde, mais aussi y prendre sa place et exprimer des sentiments et des émotions. À travers ses dessins, l’enfant parle de lui, des autres, du monde qui l’entoure et qu’il comprend à sa façon, en fonction de son âge et de son expérience personnelle. Pour les parents et les éducateurs, les dessins constituent un moyen de suivre et de comprendre le développement cognitif et émotionnel des enfants. Quels sont les différents stades de développement graphique ? Avec quelles clés les interpréter et comprendre ce qu’ils représentent ?

Quelles sont les étapes du développement du dessin chez l’enfant ?

Même si chaque enfant est unique et présente des aptitudes graphiques variables, on repère différents stades dans l’évolution de ses dessins. De traits de couleur aléatoires à l’apparition de formes de plus en plus reconnaissables, le coup de crayon s’affine et s’affirme pour exposer des scènes de plus en plus complexes.

Le stade des gribouillis (2-3 ans)

Le tout-petit doit d’abord relever le défi de tenir l’outil graphique dans sa main. Les premiers feutres et crayons sont plus gros et à mine à ronde pour que l’enfant prenne à pleine main l’objet. La forme de l’embout n’oriente pas de sens de préhension et autorise des tracés fluides dans toutes les directions. Vers l’âge de 2 ans, l’enfant peut réussir à placer ses doigts (pouce, index, majeur) de manière à tenir l’outil pour voir ce qu’il dessine. Mais la préhension tri-digitale n’est réellement acquise que vers l’âge de 3/4 ans.

dessins gribouillis enfants 2 ans
©Canva Pro

Le premier stade graphique montre ce qu’on appelle communément des gribouillis. Ce sont des enchevêtrements de tracés concentrés sur une partie de la feuille qui ont tendance à s’agréger de manière circulaire. L’enfant pratique des mouvements rotatifs avec son avant-bras et appuie généralement très fortement sur le support. Il arrive que les feutres percent la feuille ou que celle-ci se déchire lorsque l’enfant colorie à grands traits. À ce stade, l’enfant ne cherche pas à reproduire ou représenter quelque chose de réel. Il explore les différents outils et supports à sa disposition pour en tester les effets : peinture à doigts, tampons à gouache, pinceau, feutre, crayon.

De fait, la production de gribouillis ne représente rien de particulier. Elle constitue une phase de découverte et de recherche et surtout de développement musculaire essentiel. Pour cette raison, il est préférable de privilégier le crayon plutôt que le feutre. Le fait de devoir appuyer plus fort pour obtenir une couleur, mais aussi d’expérimenter les variations et mélanges de teintes font du crayon un meilleur outil que le feutre. L’enfant développe ses compétences motrices, notamment sa motricité fine. Et il apprend à coordonner ses mouvements. D’aléatoires et incontrôlés, ses gestes tendent vers davantage de maîtrise pour atteindre un nouveau stade exploratoire dédié aux formes.

La mise en place des formes de base (3-4 ans)

Il arrive bien souvent qu’après un gribouillage, l’enfant cherche « après-coup » à donner du sens à ce qu’il a produit. En discutant avec son entourage – parents, éducateurs et camarades – l’enfant prend conscience de la possibilité de représenter une forme. En Petite Section, il apprend à reconnaître le cercle (le « rond »), le carré, le rectangle et le triangle. La pratique de la peinture sur grand format conduit les élèves à délier les muscles du bras, de l’épaule et de la main.

Ainsi, ils progressent vers une meilleure coordination musculaire en même temps que se développe la coordination oeil-main. D’abord exploratoire et ludique, le dessin accède à une intention de représentation. L’enfant trace des ronds, des lignes droites horizontales et verticales, des obliques, des vagues etc. Il complète des frises en suivant un modèle sériel (rond/trait/point etc.). Petit à petit, sa palette de formes se développe et se combine pour évoluer vers des formes reconnaissables.

C’est généralement vers cet âge-là qu’apparaît le fameux « bonhomme patate ». Il tient son surnom de la forme ovale affublée de deux ronds, points ou traits pour marquer les yeux. À ce stade, l’enfant peut représenter sa famille en variant la taille de ses personnages. Toutefois, leur taille n’indique pas toujours leur position dans la fratrie. Si les parents sont figurés en grande taille, l’enfant peut tracer un ovale plus important que celui de ses frères et soeurs pour se représenter lui-même. Dans son catalogue familial, l’enfant focalise sur sa propre triade parents/enfant. Il relègue souvent ses frères et soeurs au même plan en traçant des formes de taille identique et inférieure à la sienne.

Les premières représentations (4-5 ans)

La forme du bonhomme patate constitue un schéma de base pour accueillir au fil du temps des parties de corps supplémentaires. À mesure que le schéma corporel de l’enfant s’affine, celui-ci y ajoute les bras, les jambes, les pieds, les oreilles, les cheveux, la bouche, le nez etc. Bien souvent, on observe des membres sous forme de traits, les mains comportant un nombre surnuméraire de doigts. Avec l’acquisition de la comptine numérique, les doigts atteignent la quantité de cinq représentés par des bâtons ou des pétales de fleur.

Parallèlement, l’enfant explore d’autres représentations symbolique du monde. Parmi les stars du panthéon graphique des enfants on trouve le soleil, la lune, les étoiles, l’arbre, la fleur, le château-fort, les princesses et chevaliers etc. Les proportions donnent la part belle à des troncs colossaux et des ramages réduits, des robes en triangle et des pieds rectangulaires et quantité d’escargots en spirales colorées. Il y entre progressivement du symbolisme tel que les yeux en croix pour le dragon terrassé, le coeur pour exprimer les sentiments d’attachement, les traits brefs pour montrer le mouvement ou la vivacité…

L’enfant commence à utiliser le dessin pour représenter le monde qui l’entoure. Il s’agit soit d’un environnement proche – la maison, l’école, le parc avec le toboggan – ou alors un monde imaginaire –espace, dragons etc. Les enfants inventent des histoires dans leur tête et tentent de les reproduire graphiquement. Parfois certains tout-petits ressentent une douloureuse frustration face à leurs productions. Ils voient dans leur tête un monde peuplé de créatures magiques, mais le dessin qui s’en inspire ne leur est en rien fidèle. Cela peut provoquer de grosses colères et les inciter à abandonner tout dessin.

C’est pourquoi il est important d’expliquer à l’enfant que ce qu’il ressent est tout-à-fait compréhensible et qu’il va progresser à son rythme en continuant de dessiner régulièrement. Essayez de lui montrer comment améliorer certaines parties, plutôt que de s’énerver et de tout déchirer.

Évolution vers le dessin narratif (5-7 ans)

Vers 5-7 ans, l’enfant accède à une maîtrise des outils graphiques, crayons et feutres compris. Il trace les formes qu’il a en tête, il appuie suffisamment sur son crayon et est capable de préserver son feutre. Les dessins deviennent plus détaillés et l’enfant commence à raconter des histoires à travers ses œuvres. Les personnages ont des caractéristiques plus définies avec le schéma corporel au complet dont les mains, pieds et un visage expressif. L’enfant ajoute des détails dans son décor et s’essaie à différentes vues (en coupe, en vue de dessus ou de profil…).

dessins enfants maison et soleil
©Canva Pro

Désormais, l’enfant utilise le dessin comme un moyen de communication. Cela reflète son développement cognitif et émotionnel. Il offre des dessins à ses proches et amis pour leur montrer son affection ou pour transmettre un message. Cela va du panneau d’interdiction d’entrer dans la chambre à la série de dessins de chats, chiens et lapins pour célébrer son animal de compagnie. Une fois entré à l’école élémentaire, il est invité à illustrer son cahier de poésie et surtout il continue d’explorer les arts visuels lors des cours dédiés. Sa technique s’enrichit grâce aux rencontres picturales et graphiques avec des artistes abordés en classe ou rencontrés lors de sorties culturelles scolaires ou familiales.

Les enfants prennent conscience des différents moyens d’expression artistique et peuvent mêler plusieurs supports et techniques à leurs productions : crayons, collages, paillettes, écriture etc.

Le stade du réalisme visuel (7-9 ans)

La tranche d’âge des 7-9 ans connait un bond significatif dans la représentation réaliste des détails. Cela passe d’abord par le respect des proportions correctes et des perspectives simples. L’enfant développe une meilleure compréhension de son environnement grâce à un sens plus aigu de l’observation. Il aime ajouter des détails de décor ainsi que des expressions faciales (bouches rieuses ou sourcils en colère etc.). Il gère de mieux en mieux l’espace de la feuille et parvient à équilibrer ses scènes pour les rendre vivantes et attractives. Le ciel se peuple de nuages et oiseaux, le sol d’insectes et de bosquets fleuris, les lapins se déplacent en famille avec chacun un signe distinctif.

dessins d'enfant réaliste 7 ans
©Canva Pro

L’enfant utilise le dessin pour s’évader et illustrer ses propres histoires. Il aime se consacrer un long temps à élaborer des décors et à vivre en pensée des aventures extraordinaires. L’univers du jeu vidéo, du dessin animé et de la BD l’orientent parfois vers le style cases et bulles. Les dessins deviennent des séries avec des personnages récurrents qui vivent des histoires rocambolesques. Reliés avec un ruban ils se muent en livrets avec couverture illustrée, nom de l’auteur et titre alléchant.

Vers un graphisme au réalisme complexe (9-12 ans)

Enfin, l’enfant entre 9 et 12 ans peut devenir un excellent dessinateur. Au détails réalistes et au respect des proportions, s’ajoutent les ombres et la perspective de mieux en mieux gérées. À ce stade, l’enfant utilise ses compétences graphiques pour exprimer des idées et des émotions complexes. Cela reflète une maturation cognitive et une capacité accrue à conceptualiser et à représenter des scènes complexes.

dessins enfant en perspective
©Canva Pro

Comment les parents peuvent-ils interpréter les dessins de leurs enfants ?

Si on retrouve des constantes dans le développement des aptitudes à représenter graphiquement le monde chez l’enfant, leur interprétation n’est pas toujours aisée. Voici quelques pistes pour tenter de décrypter les dessins de vos enfants.

Le choix des couleurs : reflet des émotions ?

Si on se réfère au célèbre livre pour enfants d’Anna Llenas, La couleur des émotions, chaque couleur est associée à une émotion précise. Cela constitue donc une piste pour interpréter les dessins des enfants. Traditionnellement on associé les couleurs vives à la joie, tandis que des couleurs sombres expriment de l’anxiété ou de la tristesse. Par ailleurs, le recours à une grande variété de couleurs peut montrer une créativité et une imagination débordantes. Toutefois, ces codes couleurs sont à manier avec précaution car ils dépendent de nombreux facteurs, notamment culturels et sont donc sujets à variation.

Ainsi, avant de commenter un dessin d’enfant, il est judicieux de lui poser des questions afin de vérifier sa propre interprétation des couleurs. Le noir pourra être la couleur du héros Batman et représenter la justice et la force et non des idées noires ! D’autre part, l’enfant peut avoir envie d’exprimer sa singularité à contre-courant de ses camarades. De cette manière, on peut entendre des petites filles refuser d’utiliser la couleur rose, trop stéréotypée princesse selon elles, tandis que des garçons auront envie de l’utiliser pour montrer leur sensibilité.

Les thèmes de prédilection des dessins d’enfants

À travers ses dessins, l’enfant teste des projections de ses préoccupations principales. Ainsi, il représente fréquemment des membres de sa famille, des amis et animaux familiers. Il va aussi passer par le symbolisme de l’image pour revivre des moments intenses, de fêtes (Noël, Pâques), de nouvelles expériences (visites de château, d’un parc à thème). Tout comme l’enfant rêve d’événements vécus ou fantasmés, l’enfant dessine des situations qu’il a rencontrées dans un passé proche ou des extrapolations de scénarios imaginaires. Il peut dessiner le chien qu’il aimerait avoir, le bébé à naître, la nouvelle maison etc.

enfant qui dessine
©Canva Pro

Par ailleurs, en pleine construction de soi et de son schéma corporel, l’enfant se représente souvent lui-même. Il se vêt d’habits qu’il aime et qui le représentent ou bien il endosse un costume de super-héros pour vivre des aventures de papier. Ses représentations dévoilent une part inconsciente de son psychisme. On y observe des manifestations de la vie familiale avec ses relations interpersonnelles, des conflits comme des joies. Mais on y relève aussi des aspirations individuelles, des envies, voire des ambitions tournées vers le futur. Ainsi, un enfant peut se représenter en pilote d’avion, en chef d’orchestre, en star de la musique etc.

Parfois la signification des dessins s’apparentent à celle des rêves. Un enfant qui dessine souvent des maisons ou sa famille réunie peut exprimer un besoin de sécurité et de partage émotionnel. Le dialogue parent/enfant apporte un complément d’information qui éclaire l’intention du dessinateur en herbe. N’hésitez pas à interroger votre enfant, cela lèvera des doutes sur ce que vous croyez voir. Et n’oubliez pas que le registre scatologique fait partie du répertoire enfantin traditionnel ! Si vous trouvez incongrue la présence d’une crotte de chien devant le coquet pavillon dessiné par votre enfant, c’est que vous n’êtes plus capable de voir son aspect subversif… et drôle ! Évidemment, un point éducatif s’impose lorsqu’il s’agit d’illustrer le cahier de poésie !

L’art de la composition picturale chez l’enfant

Certains artistes se sont beaucoup inspirés des dessins d’enfants pour théoriser leur courant. Par exemple, le groupe Cobra en saluait la liberté formelle, l’absence de contraintes techniques et la composition hors normes. Asger Jorn (1949) parle de « spontanéité irrationnelle » pour atteindre « la source vitale de l’être ». Finalement, l’enfant est perçu comme un créateur absolu qui exprime, notamment à travers le dessin, ses désirs, ses émotions et sa compréhension du monde. Considéré comme « naïf », le dessin d’enfant serait une sorte de quintessence des aspirations de l’homme centrées sur la quête de liberté et d’affirmation de soi.

Indépendamment de la qualité graphique du dessin, de son degré de réalisme ou de ressemblance au réel, l’enfant saurait utiliser les formes et les couleurs bien mieux qu’un adulte. Il s’en servirait pour traduire des émotions que les adultes refoulent pour se conformer aux normes culturelles et sociétales. Plus particulièrement, la composition enfantine traduit une vision de l’ordonnancement du monde et la perception de sa propre place en son sein. Ainsi, certains spécialistes interprètent la position du dessin sur la page pour évaluer les compétences psycho-sociales de l’enfant. Celui qui dessine dans un coin de la feuille serait ainsi un enfant timide qui a du mal à s’intégrer au groupe. En revanche un dessin centré révèlerait un sentiment de bien-être et d’équilibre.

dessins d'enfant au crayon de couleur
©Canva Pro

De même en psychanalyse, le dessin reflète la psyché de l’enfant et est souvent utilisé pour comprendre des mécanismes inconscients. Toutefois cela reste un aperçu valable à un instant précis et susceptible d’évoluer rapidement. Il faut bien se garder des interprétations hâtives et surtout définitives. L’enfant est par essence changeant et mieux vaut s’interdire les étiquettes pour éviter les biais cognitifs.

Les clés de compréhension des dessins d’enfant

Voici quelques astuces pour vous aider à mieux comprendre les dessins de vos enfants :

  • Observer mais sans interpréter hâtivement. Attendez que votre enfant laisse libre court à son imagination avant de considérer l’ensemble de son oeuvre. Vous aurez une vue plus globale et pourrez apprécier ses progrès et repérer ses thèmes favoris sur du moyen terme. N’oubliez pas cependant que chaque dessin est unique et exprime un sentiment à un instant donné, sans que cela soit irréversible.
  • Interroger votre enfant via des questions ouvertes. Veillez à ce que la réponse ne soit pas induise par la question et que votre enfant ne cherche pas à vous rassurer ou à vous satisfaire. Pour cela, vous l’interrogerez de manière à rester le plus neutre possible. Votre enfant doit se sentir libre d’exprimer ses pensées et ses sentiments sans pression. Donnez-lui l’occasion de parler de son dessin sans l’infléchir vers une piste interprétative. Si vous avez vu un hippopotame mais que vous n’êtes pas sûr, tentez plutôt d’aborder le sujet des animaux de la savane. « Tiens, tiens, il me semble reconnaître un animal de la savane, mais je ne sais plus lequel… » Privilégiez également les questions larges comme « Peux-tu me raconter ce qui se passe dans ton dessin ? » Ce cadre relationnel devrait inciter l’enfant à exprimer ses pensées et ses sentiments sans pression.
enfant qui dessine au sol
©Canva Pro
  • Considérer le contexte de production du dessin : l’enfant était-il bien installé ? Avec le bon matériel, avec suffisamment de temps devant lui ? Était-il dans de bonnes dispositions émotionnelles, sous le coup d’événements ou d’interactions sociales marquants ? Divers facteurs peuvent influer sur la qualité du dessin et il peut être intéressant de les intégrer dans son analyse.
  • Respecter son développement artistique en évitant de corriger ou de critiquer car cela peut inhiber la créativité de l’enfant et son désir de s’exprimer. Au contraire, encouragez l’expression artistique de votre enfant sans jugement.
  • Consulter un professionnel. Si vous êtes préoccupé par les dessins de votre enfant (par exemple, des thèmes récurrents inquiétants ou un changement soudain dans le style de dessin), n’hésitez pas à consulter un professionnel, comme un pédopsychiatre ou un psychologue.

Quelques ressources complémentaires pour comprendre et interpréter les dessins des enfants

Voici quelques ouvrages puisés dans les domaines de l’éducation, de la pédagogie et de l’art qui pourront vous aider à mieux comprendre et interpréter les dessins de vos enfants ou élèves :

  • Georges et Anna Cognet, Comprendre et interpréter les dessins d’enfants, Dunod, 2023.
  • René Baldy, Comprendre les dessins de son enfant, Eyrolles, 2015.
  • Anne Lorin, Ce que nous racontent les dessins d’enfants : Des réponses aux parents, Philippe Duval, 2021.
  • Sylvie Chermet-Carroy, Comprenez votre enfant par ses dessins, Sand, 2010.
  • Juliane Schack, Comprendre les dessins d’enfants, Marabout, 2000.
  • Philippe Wallon, Anne Cambier, Dominique Engelhart, Le dessin de l’enfant, PUF, « Paideia », 1998.
  • Fanchette Lefebure, Le dessin de l’enfant. Le langage sans parole, Masson, 1997.
  • Sous la direction d’A. Kerlan, Des artistes à la maternelle, Lyon, SCÉRÉN-CRDP, 2005.
  • Célestin Freinet, La méthode naturelle II. L’apprentissage du dessin, Neuchâtel/Paris, Delachaux et Niestlé, 1969.
  • Élise Freinet, L’enfant artiste, Cannes, CEL, 1963.

Enfin, un petit passage sur le site Le Muz (musée des oeuvres d’enfants) co-fondé par l’auteur-illustrateur Claude Ponti pour promouvoir l’expression artistique des enfants donne encore bien des pistes pour appréhender le dessin d’enfant.

Et chez vous, vos enfants s’adonnent-ils fréquemment au dessin ? Avez-vous essayé d’interpréter leurs oeuvres ? Quels conseils donneriez-vous aux parents désireux de mieux comprendre l’expression artistique de leurs enfants ? Rendez-vous sur nos réseaux sociaux FB et Instagram pour partager votre expérience !

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